Tu veux un drink ?
ISBN : 978-2-918471-08-0List of products by supplier:
Sur un train d'enfer, une perruche, un labrador et un architecte s'en donnent à coeur joie.
Après une satire incisive du monde de l'édition dans son roman « De Jérôme à Lidoire », Martine Lafon-Baillou confirme ses talents d'humoriste en s'attaquant à un phénomène de société : la personnification des animaux et les relations parfois absurdes qu'elle engendre avec leur maître.
Toujours dans l'air du temps, MLB, surfe régulièrement sur Facebook avec ses amis. C'est à eux, avec qui elle a déjà partagé ses écrits, qu'elle dédie son triptyque facebookien à la fois humoristique et dérangeant, cette courte histoire en trois actes sur le mode de la dérision.
C'est cocasse, drôle, loufoque ! On rit beaucoup, parfois jaune pour certains...
Date de parution : | Octobre 2011 |
Dimension : | 11,5 X 16,5 cm |
ISBN : | 978-2-918471-08-0 |
Nombre de pages : | 52 pages |
Rayon : | Humour |
Condamnée à être drôle
Sud-Ouest - 2 octobre 2011
Un conte philosophique
Sud-Ouest - 3 décembre 2011
Un regard impertinent
Sud-Ouest - 13 novembre 2011
Lafon-Baillou Martine
Martine Lafon-Baillou réside actuellement en Gironde. Son activité professionnelle la maintient toujours en lien étroit avec les lettres et le milieu littéraire. Elle écrit des poèmes, des nouvelles et des romans avant d'être remarquée par le monde de l'édition.
Conférencière, animatrice d'ateliers d'écriture et de cafés littéraires, elle reste « en perpétuel état d'ébullition littéraire ». Son style reconnaissable par sa vivacité et sa fluidité a séduit les...
Je me suis bien amusé, merci.
« Tu veux un drink ? », c’est le non sense anglais qui aurait lu Kafka en revisitant l’univers de Raymond Devos. Chacun croit être quelqu’un d’autre et l’homme n’est jamais loin de devenir le chien de son chien. Il faut toujours se méfier des apparences dans ce monde si prompt à les élever au rang de mètre-étalon. Mais une perruche citant Voltaire et affirmant : « J’aurais pu être académicien. Je m’en fous. L’habit vert, je l’ai déjà. », peu importe qui elle cache, elle suffit à mon bonheur. L’humour, « le dernier rempart contre la bêtise et la barbarie » comme disait l’autre, trouve ici une excellente ambassadrice. Je me suis bien amusé, merci.